l’île du Sud – Partie Nord

Magnifique région de Neslon et Abel Tasman

Après 3h30 de traversée depuis Wellington, on arrive dans les sounds (fjords) de l’île du Sud, qu’on traverse tranquillement, et accompagné par un couple de dauphins, pour débarquer dans la petite ville de Picton, passage obligé lorsqu’on passe d’une île à l’autre. On décide de passer par la petite route sinueuse, plutôt que par la voie principale, car les paysages y sont bien plus beaux et au final ça ne change pas grand chose en terme de temps. Et effectivement c’est superbe, on découvre de magnifiques panoramas tout au long de la route et on s’arrête pour faire une petite balade de quelques minutes au Cullen Point Lookout, où on y croise nos premières Silver Fern, les fameuses fougères arborescentes dont le dessous des feuilles vire à l’argenté lorsqu’elles sèches, et symbole de tout le pays. On poursuit jusqu’à Richmond pour trouver notre camping, qui n’est pas trop loin du célèbre parc national de Abel Tasman. On démarre assez tôt le lendemain pour aller faire une marche dans le parc, et vu que les marches se font le long de la côte, soit on commence depuis le village de Marahau en taxi Boat, et qui vous dépose à divers endroit le long du chemin et on reviens à la marche, soit l’inverse. Le taxi Boat qu’on voulait prendre pour débuter est déjà plein alors on décide de commencer par marcher et de rentrer en bateau, ça va aussi! Et c’est parti pour une petite marche de trois heures, sous un beau soleil. Les paysages sont fantastiques et on longe la côte avec des vues sur des baies au sable orangé entouré de forêt. Parfois la vue est bien dégagée et on aperçoit la ville de Nelson au loin. Il est régulièrement possible de descendre par des petits chemins au bord de l’eau pour aller decouvrir ces petite baies sauvages. La nature est magnifique et les couleurs changent régulièrement avec le soleil. On arrive finalement au dessus de la grande Torrent bay qui offre un panorama splendide avec une végétation encore bien différente de ce qu’on avait vu auparavant, et quelques souvenirs lointain refont surface car j’y avait déjà mis les pieds (Lorin) en 2002 avec le frangin. Il y a quelques ammenagement supplémentaires et bien plus de monde, mais c’est toujours aussi beau!   Le retour en taxi Boat est sympathique également, et on voit la côte sous au autre angle, avec une petite visite en prime, jusqu’à la ville de Kaiteriteri pour y déposer du monde. Abel Tasman National Park est l’un des joyaux de l’île du Sud et il mérite clairement le détour car c’est bien différent de tout ce qu’on peut voir dans cette partie de la Nouvelle-Zélande.

Où dormir : beaucoup d’options s’offrent à vous, nous avons dormi à Richmond, à 30 mins de route d’Abel Tasman National Park. Il y a des camping et campground dans le village de Marahau pour être directement sur place.

Quoi faire: de la marche dans parc National d’Abel Tasman bien sûr! Mais pas que, car il y a plusieurs autres possibilités pour le decouvrir, en kayak ou en bateau, par exemple. Vu que la marche se fait le long de la côte, il est possible de partir pour 3h comme pour 5 jours de marche et de rentrer en taxi Boat (à réserver avant) ou l’inverse. Il y a tout au long du chemin des endroits pour camper. Les départs se font depuis Marahau ou Pohara (tout en haut du parc, mais pas sur qu’il y ait dès taxi Boat depuis là). À Nelson, pour les fans du Seigneur des Anneaux, il y a la bijouterie où a été forgé le « précieux ».

Sue la route du vin à Blenheim et Marlborough

A 20 minutes de Picton et 1h30 de Nelson, se trouve la petite ville de Blenheim au milieu des célèbres côteaux de Marlborough, réputés pour produire l’un des meilleurs Sauvignon Blanc au monde. Forcément on ne pouvait pas passer ici sans y faire une petite dégustation…ou deux… Le temps n’est pas au beau fixe donc finalement, s’enfermer dans un domaine pour goûter quelques bon crus c’est pas si mal. On décide d’aller faire un tour du côté de Brancott Estate, réputé pour son vin mais aussi pour la vue qu’on peut avoir sur ses côteaux et la plaine. Apres un petit film de présentation on déguste quelques blancs plutôt pas mal, un sauvignon blanc forcément, et des pinots. Malgré les nuages, la vue est pas mal aussi. On repart en direction de la chocolaterie mais c’est pas très intéressant, juste un magasin avec du chocolat cher et des des gens qui bossent derrière une vitre, mais on a pu au moins déguster un petit morceau. On se dirige vers le fameux domaine de Cloudy Bay qui produit l’un des meilleur sauvignon blanc au monde. Nous, on adore, et on en buvait déjà en Suisse, donc on est conquis d’avance. C’est l’occasion de goûter à quelques autres vins et on est pas déçu. Le sauvignon blanc est un vin délicat aux arômes fruités entre agrumes et fruits tropicaux comme la mangue, le fruit de la passion etc… Un délice en somme. On repart pour trouver un endroit pour passer la nuit et on se pose un peu en dehors de la ville dans un campground gratuit en bord de mer, avec toilettes et wi-fi, le grand luxe!

Où dormir: wairau diversion campground, gratuit, avec wi-fi

Que faire et voir: La région est surtout connue pour la dégustation de vins, notamment l’un des meilleurs vin blanc au monde, le Sauvignon Blanc du domaine de Couldy Bay. Vous pourrez trouver la carte avec tous les domaines au centre d’info de la ville, la Marlborough Wine Trail. Pour notre part, nous avons testé le Cloud Bay, le meilleur de tous pour nous, et Brancott Estate avec sa superbe vue sur les vignes.

Kaikoura, notre coup de coeur

Aaaah Kaikoura ! C’est l’un des endroit les plus incroyables de l’île du Sud. Non seulement la route pour y arriver (depuis le nord) est l’une des plus belle qui soit, mais en plus les alentours de la bourgade sont absolument splendides et c’est l’un des rares endroit où on voit se rencontrer l’océan d’un côté et les montagnes enneigées de l’autre. Malheureusement, depuis le tremblement de terre du 14 novembre dernier (2016), toute la route cotière est coupée et les travaux dureront probablement plusieurs années. Le bord de mer a été également touché, une partie s’est soulevée de 4 mètres, mettant à l’air libre une partie des fond marins, de quoi défigurer un peu le payage. On a donc eu la chance de profiter de Kaikoura et d’y passer trois journées fabuleuses, quatre jours seulement avant cette castatrophe. On arrive donc depuis Blenheim, et quelle arrivée ! Sur la route, on apreçoit déjà des phoques faire leur siestes au milieu des rochers. L’occasion est trop belle et on s’arrête pour les voir de plus près. Il y en a partout, et on peut les approcher sans problème en restant quand même à 2-3m et en surveillant ses arrières, car certains peuvent se montrer un peu farouches. Mais quelques minutes plus tard, arrive un couple de français nous expliquant qu’ils suivent depuis quelques centaines de mètres une orque accompagnée d’un dauphin, qui longe la côte, et ils ne devraient pas tarder à apparaître. Un coup d’œil dans l’eau et voilà qu’on voit sortir une énorme nageoire puis une tête noire et blanche. C’est bel et bien une orque, et on comprendra ensuite en regardant nos vidéos que c’était son petit qui la suivait ! On en croit pas nos yeux et on se sent encore une fois tellement chanceux de voir un tel animal en vrai ! On les regarde passer et longer les rochers en cherchant probablement un phoque à se mettre sous la dent et on repart un peu plus loin les attendre pour les observer encore. Un spectacle fabuleux et inoubliable ! On reprend la route sans vraiment réaliser ce qu’on vient de croiser ! Après un rapide passage en ville dans les locaux de Kaikoura Whale Watching pour booker l’excursion de Nicky deux jours plus tard, on repart sur la route côtière trouver un coin pour passer la nuit au bord de l’océan, ce jour-là bien déchaîné par les bourasques de vent qui font tanguer le van toute la nuit. On se lève sous un ciel complètement dégagé, une mer calme et les sommets enneigés au loin, tout en étant entourés de phoques. Des réveils comme cela ne sont pas commun et on prend le temps d’apprecier à sa juste valeur ce moment magique avec un bon café face à l’océan. On roule quelques kilomètres pour aller faire une petite marche dans la forêt en suivant une petite rivière et monter à une cascade, qui doit son originalité à … des bébés phoques. Effectivement, cet endroit fait office de place de jeux pour les bébés et le jeunes phoques, qui ont alors tout loisir de s’amuser dans la forêt, au bord de la rivière et sous la chute en toute sécurité ! La vision des petits phoques au milieu des fougères et des arbres était simplement grandiose et les voir jouer sous la chute d’eau nous a simplement émerveillé. On continue la journée en allant nous balader sur les falaises de la péninsule, d’où on a une vue plongeante sur toute la baie de Kaikoura. On a tout loisir de prendre conscience de la rencontre de ces deux forces colossales qui se rejoingnent ici, l’océan en contre-bas et les montagnes encore enneigées en arrière plan, une vision sublime qui force notre humilité face cette si belle nature, qui a démontrée toute sa puissance quelques jours plus tard. On profite du soleil pour aller boire une bière sur une terrasse et passer la nuit dans un petit camping en ville. Le lendemain matin, Nicky part en excursion pour tenter d’aller rencontrer les cachalots. Kaikoura est mondialement connu pour abriter à l’année une population de ces baleines géantes qu’il est possible d’aller voir en bateau, et il y a ici une richesse faunistique ahurissante sous l’eau, qui fait qu’il est presque impossible d’en repartir sans avoir vu un mammifère marin. Malheureusement, les cachalots n’ont pas voulu se montrer ce jour-là, mais à la place Nicky aura pu voir des albatross, des dauphins par dizaines et des baleines pilotes, c’est pas trop mal aussi ! Impossible de passer à Kaikoura sans se faire l’un des meilleurs Fish&Chips du pays alors on est allé se remplir la panse sur la terrasse du troquet Coopers Catch, au centre ville et franchement les portions sont gargantuesques (et pas chères) mais qu’est ce que c’est bon ! On s’est senti tellement bien à Kaikoura qu’on est resté encore une nuit supplémentaire avant de partir à Hanmer Spring en passant par la superbe route secondaire qui va se perdre au milieu de collines vertes et fleuries.

Où dormir : La plupart des site de camping sauvage se trouvaient sur la route au nord de Kaikoura et elle est maintenant fermée. Il y plusieurs camping en ville, nous avons sejourné au A1 Kaikoura Motel and Holiday Park à 1 min du centre et c’était très bien. 20$ par personne pour un site alimenté avec wi-fi illimité.

Que voir et faire : Malheureusement, après le tremblement de terre, nous n’avons aucune idée de ce qu’il est encore possible de faire. Les activités en mer, tel que le Whale Watching ou les excursions pour aller nager avec les dauphins sont à nouveau possible. Les points de vue sur la route au nord et la cascades avec les bébé phoques ne sont plus accessibles. Par contre il doit y avoir encore les colonies de phoques au pied de la peninsule et la marche à faire pour admirer le point de vue en hauteur. L’accès ne se fait plus que par la route du sud.

Hanmer Spring

Hanmer Spring est un très joli village avec un style qui rappelle un peu nos chalets suisses, où les maisons en bois sont perchées dans les collines. Une ambiance zen et tranquille, et ici, on y vient surtout pour s’y reposer dans les bains, ou y faire des marches ou du VTT dans la nature. Pour nous, le but était surtout de profiter des sources d’eaux chaudes naturelles, surtout avec le temps « pourri » qui nous suit depuis quelques jours, on va dire que la météo est parfaite pour passer des heures dans des bains chauds, et on prend d’ailleurs le pass deux jours. Et pendant ce temps-là Nicky se balade dans les alentours du village. Les bains sont réputés pour leurs vertus thérapeuthiques, dont l’eau est issu de sources naturelles et est chargée en minéraux, on passera d’ailleurs pas mal de temps dans les bassins de souffre. On prend donc un pass de deux jours, autant se relaxer un peu au chaud en attendant que le beau temps revienne. On se balade un peu dans la ville, où se trouve un joli petit parc avec un étang où barbote des canards. On aurait bien voulu aller découvrir les environs, mais avec cette pluie, le plaisir ne serait pas vraiment de la partie, surtout qu’il y a du brouillard donc niveau payage c’est pas le top. Bref, Hanmer Spring aura été notre weekend détente et relaxation, ce qui fait également du bien après autant de temps sur la route.

Où dormir : Il y a plusieurs endroits gratuits autour de la ville, comme celui près de Jollies Pass Road, le mieux est encore de télécharger campermate sur votre téléphone, cette application vous indiquera tous les lieux où il est possible de passer la nuit partout dans le pays.

Que voir et faire : Comme partout en Nouvelle-Zélande, il y a de belles balades à faire, certaines partant directement du village, mais également une petite marche de 20 min à Conical Hill de 20 min avec un très joli point de vue. Sinon, pour les amateurs de mountain bike il y a également de quoi faire. Et bien sûr les bains, à 24$ pour le temps que vous voulez, ou 42$ le pass deux jours.

De Greymouth à West Port

La côte Ouest est tout aussi belle que celle de l’Est, la végétation est plus tropicale, avec de grandes forêts de fougères, on se croirait un peu dans Jurassic Parc à certain moment. Cela ressemble assez à celle de la région d’Abel Tasman dans le Nord de l’île. Nous n’avons pas fait la partie Sud de la côte, enfin juste Fiordland (voir ici), mais sans passer par les glaciers Franz Joseph et Fox. A la base, on n’avait pas prévu de remonter par ce côté là de l’île, on voulait revoir encore un peu Kaikoura et ses phoques qu’on avait adoré, mais vu que la route est complétemenet fermée à cause du tremblement de terre, on a dû changer nos plans. Au final, cet imprévu nous aura fait découvrir une très belle région de la Nouvelle-Zélande. Après la jolie traversée dans Arthur’s Pass et nos tentavies dans l’observation de kiwis (voir ici), on débarque sur la côte ouest à Greymouth. A première vue, il n’y a pas grands choses à faire ici, c’est surtout un stop pour essence et courses. Finalement, on décide de profiter un peu du soleil avant de reprendre la route jusqu’au Pancakes Rocks et West Port. On se balade au bord de l’eau jusqu’au bout de la jetée, bon le paysage n’est pas des plus beaux, mais on se dégourdi un peu les jambes. On finira par y faire une rencontre bien sympathique, un hollandais, Richard, établi ici depuis des années, vendeur de cafés et de stroopwafels dans son « lifeboat », un biscuits au miel et à la cannelle typique hollandais, mais celui-ci est juste incroyable, car il est homemade et donc déliceux, bien meilleur que ceux qu’on trouve en Hollande (trouver Richard ici). On finira par passer bien une heure à discuter et savourer ces petits biscuits, encore une belle rencontre, fruit du hasard. On s’installe ensuite dans notre van pour découvrir les pancakes rocks de Punakaiki. Ce sont des falaises de calcaires vieilles de plus de 30 millions d’années. Avec la force du vent et de la pluie, des morceaux de roches se sont détachées des falaises, et peu à peu les sédiments se sont soudés pour formées ces couches assez particulières à la forme de crêpes posées les unes sur les autres. Il est également possible de voir des sortes de geysers sortant des cavités et provenant des vagues qui s’y engouffrent, et avec leur puissance propulse l’eau en l’air, ce qu’ils appellent ici les blowholes. Après cette très belle balade, on reprend la route pour West Port où on a prévu de dormir. On a trouvé un campground gratuit au bord de la plage, ce qui nous tente plutôt bien, surtout que c’est une belle journée ensoleillée. On fait un petit stop déjeuner au bord d’une plage où apparament vivrait une colonie de pingouins bleus, bon on ne verra pas les pingouins mais juste leurs traces dans le sable. La route jusqu’à West Port est vraiment belle, elle longe la côte, d’un côté l’océan et de l’autre une forêt tropicale, on a juste envie de s’arrêter partout. On est fan de ce genre de paysage, surtout sous ce soleil qui donne de vrais airs d’été. On se régale jusqu’à West Port où on s’installe dans le campground, envahie par d’autres campervans, donc niveau tranquilité on passera, la belle plage au soleil ne sera pas pour cette fois-ci.

Que voir et faire : Il y a de nombreuses choses à voir et à faire sur cette côte, comme du rafting ou du kayak dans les rivières, découvrir des grottes, des randonnées ou encore des musées. Le site le plus connu est celui des Punakaiki Pancakes Rocks et ses blowholes, Hokitika pour les mineurs et chercheurs d’or, épaves de bateaux, et les gorges avec une eau turquoise. Au Nord de West Port, vous trouverez le parc national d’Oparara Kahurangi et la région de Karamea, où il y a de nombreuses marches et des grottes, vous pouvez y faire tout un circuit. A West Port, il y a le coaltown à 10$ par personne, ce musée retrace l’histoire des mines de charbon et l’histoire de la ville.

Où dormir : Camping Goldsborough (DOC) avec toilette pour 6 $ par personne à payer en « honesty box », à 17 km d’Hokitika. Il y a également des jolis campings le long des Punakaiki Pancakes Rocks.

Les lacs de Nelson et Saint Arnaud

Saint Arnaud est un petit village au milieu des monts et entouré de forêt, il est surtout connu pour son magnfique lac Rotoiti. Il y a quelques marches à faire depuis là, mais il est également agréable de juste profiter du calme des lieux, on a d’ailleurs opté pour la deuxième option étant donné que notre but en venant de la côte ouest, est d’atteindre Blenheim avant la nuit. On s’installe donc pour la pause déjeuner et café au bord de l’eau au milieu des canards, alertés par les miettes de pains et qui se pressent pour récupérer le moindre morceau. Nath se fait envahir par une horde de jeunes volatiles qui n’hésitent pas à lui grimper dessus de tous les côtés. C’est clair qu’ici les canards sont un peu moins trouillards que chez nous. Un moment qui nous aura bien fait rire en tous cas. On se balade un peu le long de l’eau jusqu’au petit ponton en bois (c’est celui qu’on voit partout en photo pour repésenter le lac), on observe les très beaux cygnes noirs et des énormes anguilles dans l’eau, un paysage relaxant et apaisant qui fait du bien. Enfin jusqu’au moment où un car de touristes débarque avec quelques jeunes ayant un peu chaud, se déshabillant pour se jeter dans l’eau gelée ! Un moment un peu surréaliste dans ce magnifique cadre, surtout qu’autour de nous il y a avait des familles avec des enfants, donc pas très approprié de notre point de vue, enfin heureusement on avait pu profiter du calme avant. On repart donc pour Blenheim et ses vignes. La route est plutôt chouette, surtout au début, car on traverse de belles forêts et des monts, et ensuite on voit surtout des champs de moutons et de petites collines vertes, style Hobbiton, jusqu’à Blenheim où on se reinstalle au campground gratuit au bord de l’eau, mais en partie fermé à cause des dégats du tremblement de terre. On observe la route et effectivement on ne peut pas trop s’y aventurer.

Où dormir : Il y a quelques camping à Saint Arnaud, sinon des campground du DOC, plus d’infos ici).

Que faire : C’est une très belle région dans la nature pour faire des marches, notamment celle du Mont Robert d’environ 3h qui offre de très beaux points de vu sur le lac Rotoiti ou celle de deux jours plus difficle au Lac Angelus via les crêtes, 24km aller-retour. Plus d’infos ici.

 

 

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