Auckland, aller-retour
Au final ou aura passé pas mal de temps à Auckland, pour y rester quelques jours chez nos amis argentins Lu et Pato (rencontrés en Chine à Guilin, voir ici) en attendant l’arrivée de Vanessa (la petite sœur à Nath) le 14 décembre, et aussi pour terminer notre séjour en début d’année, avant de nous envoler pour Tahiti. Ils vivent dans une petite ville dans l’agglomération à Glendowie avec la sœur à Pato, Laetitia et son ami German, et nous ont accueillis à bras ouverts dans leur maison ! Mucha Gracias amigos ! Du coup, avant l’arrivée de Vanessa, ça nous a laissé le temps de passer à l’agence de location du campervan faire réparer 2-3 bricoles, car l’état du van laissait un peu désirer dès le départ, et également visiter la ville et ses alentours. On découvre ainsi la petite ville de Saint Heliers et sa plage, d’où on peut apercevoir Auckland et la Sky Tower depuis le point de vue un peu plus haut au dessus de la Lady’s bay (plage nudiste, pour les amateurs). Et on profite simplement de se reposer un peu chez nos amis et profiter de se sentir comme à la maison ! On fera tout de même un petit tour dans le centre de la ville et au bord des quais, à travers Queen Street et ses petites ruelles, où ne se sent pas du tout dans une grande ville. On récupère donc Vanessa pour un roadtrip de trois semaines à travers l’île du Nord et les paysages du Seigneur des Anneaux, et malgré un voyage de près de 40h, elle gère plutôt bien le Jetlag ! On part directement pour l’extrême Nord de l’île, direction Cape Reinga.
Lors de notre second passage, après nouvel an, pour y amener Vava à l’aéroport pour son retour, on revient à nouveau à Glendowie, et cette fois ça ne sera pas de tout repos. Il nous reste quelques jours avant de décoller nous aussi, mais pour la Polynésie française, et on en profite pour aller faire un tour du côté de Devonport et son Mont Victoria histoire de voir la ville depuis un autre angle, et la vue est plutôt pas mal car on domine également le golf d’Aoraki, la mer et le volcan Rangitoto. Après cette petite visite avec Lu, on décide d’aller prendre un café dans le bar où travail Pato près du centre-ville. Le café fût excellent, mais malheureusement, quand on est revenu au van, on y a trouvé la vitre explosée et notre sac envolé, avec gopro, disque dur, et un de nos Iphone. S’en suit plusieurs coup de téléphone à la police, à l’agence de location, des discussions avec des passants, tous forts sympathiques et compatissants. Puis on retrouve le sac dans une poubelle, à proximité, mais il est bien entendu vide. Un voisin vient nous dire qu’il a vu qui l’a mis dans la poubelle, qu’il sait qui c’est et où se trouvent les personnes en questions. Il est balaise alors on l’accompagne avec Pato pour tenter d’en savoir plus et peut-être récupérer nos affaires. Mais on se retrouve en face de trois alcooliques-toxico donc y a pas grand chose à faire, il n’ont rien avec eux à part un cubi de vin et nient tout en bloque, mais l’un deux avoue discrètement que c’est son copain qui a fait le coup. On rappelle la police pour qu’ils viennent, et 30 minutes plus tard, ils arrivent à 3 voitures et arrêtent deux des gars au milieu de la rue. Bien sûr ils n’ont plus nos affaires avec eux, et ils ne parlent pas, on se rend compte qu’on est pas prêt de revoir le contenu de notre sac. On aura même droit, le lendemain matin à la police scientifique qui est venue faire un relevé d’empreintes sur la porte du van, sans succès bien sûr. C’est donc sur cette mésaventure qu’on termine notre séjour néo-zélandais et on aurait préféré le finir autrement bien entendu. Mais on va pas se laisser abattre non plus, c’est chiant mais c’est que du matériel au final, et nous on va bien, on a pas eu d’accident en 8000 km de route, et on a vu des choses incroyables dans ce magnifique pays! Et même si c’est vraiment embêtant et dommage, on a encore 4 mois de voyage devant nous et tellement de belles choses qui nous attendent ! Tout ça nous a également permis de nous rendre compte que plein de monde sur facebook nous ont soutenus et ont spontanément proposés leur aide, ce qui nous a vraiment beaucoup touché et fait chaud au cœur. Et le hasard a voulu que Stéphane, un vieil ami chaux-de-fonniers soit à Auckland ces jours-là, entrain d’attendre son avion pour rentrer et nous propose de nous prêter sa gopro pour la fin de notre voyage! C’était l’occasion d’aller boire quelques bières ensemble à la marina et de passer un excellent moment en sa compagnie, qu’on poursuivra à notre retour en Suisse ! Merci encore Stéphane! et ta Gopro fera la connaissance des requins polynésiens ! Pour ne pas rester sur une note négative avec l’histoire de ce vol et pour garder un dernier bon souvenir de la Nouvelle-Zélande, on profite de notre avant dernier jour pour grimper au sommet du Mont Eden, conseillé par nos amis argentins et Stéphane, et voir son cratère, d’où la vue à 360 degrés sur Auckland est assez impressionnante. De plus, on est accompagné par un parfait ciel bleu, donc on finit notre journée à la plage de St-Heliers avant de partager notre dernier repas chez nos amis Lu, Pato, Laetitia et German.
Que voir et faire : Le Mont Eden et son cratère pour sa vue à 360 degrée sur la ville. Il y a également d’autres monts tout autour de la ville à grimper, pour une vue en face de la ville, le mont Victoria à Devonport (on a pas de photo, c’est le jour où on s’est volé l’appareil). La Sky Tower à 30$ l’entrée, d’où il est possible de sauter, le fameux « skyjump » pour 300$. Se balader et faire du shopping à Queen Street, les bords de la Marina (le Viaduc) et son quartiers des Silo pour le côté Street Art.
Paihia et la Bay of Islands
Après avoir passé quelques jours bien agréables chez nos amis argentins, merci encore Lu et Pato, on commence l’aventure à trois direction l’extrême Nord de l’île vers Cape Reinga, mais avant, petit stop à Paihia et la bay of Island, connue pour les nombreux mammifères marins qu’il est possible d’y observer, dauphins, baleines ou encore orques. On commence notre route dans les bouchons de la city et on roule jusqu’à Waipu pour y passer la nuit et laisser Vanessa se reposer un peu. La camping est vraiment chouette, au calme à côté de la plage où il faut tirer une sorte de radeau pour y accéder, parfait pour une première nuit chez les kiwis. En plus, on a le droit à un super lever de lune jaune-orange juste au-dessus des dunes de sables, la classe. Le lendemain, on reprend la route pour Paihia, sur le chemin on fait deux stop, le premier à Whangarei pour y admirer ses chutes d’eau et sa très belle forêt tropicale, une première pour Vanessa qui admire les lieux avec une grande émotion, et ce n’est que le début de notre aventure. Le second stop est un peu moins exotique, mais tout autant intéressant, à Kawakawa une petite ville tout ce qu’il y a de plus ordinaire à l’exception de ses toilettes publiques et de son parc. En effet, l’artiste autrichien Friedensreich Hundertwasser, a participé à un projet architectural et artistique ici en 1999. On y a donc fait une petite pause pipi un peu « culturelle ». Avant d’arriver à Paihia, on profite du super beau temps pour se poser à la plage de Matapuri. Après près d’un mois dans l’île du Sud dans le froid, on est bien heureux de reprendre un peu des couleurs dans le Nord au bord de l’océan. Bon l’eau reste plutôt fraîche, c’est sûr que ce n’est pas les 30 degrés de Bali (voir ici), mais on s’en fiche un peu, on veut juste se prélasser quelques heures au soleil, ici on ne sait jamais comment le temps peut tourner. Lu nous avait parlé d’un endroit assez spécial vers cette plage, les mermaids pools, ce qui veut dire les bassins des sirènes. Ce sont en fait, des bassins naturels dans la roche au bord de l’eau, qui se remplissent avec les vagues lors de la marée haute. On part donc escalader le petit mont où de l’autre côté se trouve les piscines. La montée est assez raide et il faut parfois se tenir aux arbres pour ne pas glisser, on trouve cela plutôt amusant. Arrivés vers les bassins, on aperçoit plusieurs groupes de personnes se baignant et prenant des photos tout autour. Malgré la beauté des lieux, un peu trop de monde pour nous, on cherche plutôt à se reposer au calme. On rebrousse donc chemin jusqu’à la plage pour profiter encore un peu du soleil avant de continuer jusqu’à Paihia. Paihia est la ville de départ pour la plupart des croisières pour visiter la bay of Island. On stop au I-Site pour réserver notre virée du lendemain pour aller voir les dauphins et peut-être nager avec, si les conditions sont réunies, puis on se pose au camping à côté des Haruru Falls, bien tranquille avec la vue sur les chutes. On fait la connaissance de madame canard et ses 9 petits canetons qui viennent spontanément dans nos pattes essayer de picorer nos tongs. Décidément les canards ne sont pas timides ici, les petits s’approchent et grimpent sur nos mains sans aucune gêne, un moment plein de douceur et de tendresse. On se lève à l’aube car le départ est à 8h et on embarque sur le bateau, comme pour Akaora (voir ici), on se retrouve en petit comité, une dizaine de touristes seulement. Petit speech sur la baie, les dauphins et la sécurité et c’est partir pour 4h de navigation à la recherche des cétacés. On a bien tourné, bien visité différents endroits de la baie et après presque deux heures à scruter l’horizon, on commence à perdre un peu espoir, surtout qu’apparemment c’est vraiment rare de ne pas les voir, jusqu’au moment où le capitaine reçoit un appel d’un autre bateau qui n’est pas très loin et les a localisés. On se prépare moralement à se mettre à l’eau, et même si elle est froide on est tout excités. On s’approche et on se retrouve au milieu d’un groupe d’une trentaine de dauphins qui sont entrain de prendre leur petit déjeuner. Il y a deux autres bateaux présents mais nous sommes les seuls qui avons le droit de nous mettre à l’eau avec. On les observe depuis le pont avant, il y en a un peu partout autour de nous qui viennent assouvir leur curiosité. La biologiste qui nous accompagne nous explique que dans ce groupe il y a un jeune, nommé « French Toast » et qu’il n’est donc pas possible d’aller avec eux. La réglementation est très stricte à ce sujet, et dès le moment où il y a des bébés ou des juvéniles présents, le snorkeling est interdit, ce qui est très bien au final. Par contre, on apprendra ensuite que l’une des seules possibilités de nager avec les dauphins est de croiser un groupe de … deux individus adultes qui sont toujours ensemble et se baladent régulièrement dans la baie. Tous les autres groupes comportent tous des bébés ou des juvéniles. Il est donc assez rare de croiser ces deux solitaires que tout le monde cherche et on se demande un peu s’il est toujours correct de proposer de nager avec les dauphins si les chances sont si faibles. Bon, au final ça ne nous aura pas coûté plus cher qu’une autre croisière donc de ce côté-là ce n’est pas bien grave, et même sans se mettre à l’eau, la rencontre avec ces animaux est toujours un moment formidable et riche en émotions! On reste une demi-heure avec le groupe de dauphins, a les regarder jouer dans les vagues du bateau juste en dessous de nous et on repart en chercher d’autres ailleurs car la durée maximale de l’interaction est limitée à 30 minutes. On se balade au milieu des nombreuses îles, on traverse toute la baie à la recherche d’autres animaux mais sans succès, et on regagne gentiment le port pour terminer notre croisière et aller manger un petit Fish&Chips sur les quais. Au final, on les aura quand même vu les dauphins, et franchement c’est rare de pouvoir en voir autant et d’aussi près! On voit clairement que la présence des bateaux ne les dérangent pas et qu’ils ont bien compris qu’ils ne craignent rien de notre venue. Ils sont libres de rester ou de partir et les règles en vigueurs sont largement et scrupuleusement respectées afin de les déranger le moins possible. En repartant on fait un petit stop juste à côté, à Waitangi, un lieu chargé d’histoire, pour y voir l’endroit où a été signé le fameux traité entre les colons britanniques et les chefs maoris en 1848, et toujours sujet à controverses actuellement. Les versions anglaises et maories ne seraient pas tout à fait identiques et la signification de certains termes, notamment au niveau de la propriété et de l’utilisation des terres n’auraient pas été correctement traduit. Certains pensent que cela a été fait volontairement et que les maoris n’auraient jamais acceptés de donner leurs terres, ils pensaient juste les mettre à dispositions, la notion de propriété individuelle d’un terrain n’existait pas dans leur culture. Au final on aura vu le mémorial que de loin car l’entrée est devenue payante et que sur le moment on avait pas la motivation de faire un musée, surtout qu’on avait pas mal de route encore pour nous rendre à l’extrême nord de l’île, à Cape Reinga.
Où dormir : Le camping Waipu Cove Cottage à Waipu pour 43$ pour deux en powered site, à côté de la plage avec son petit radeau pour y accéder. A Paihia, le camping Haruru Falls Resort, face aux chute du même nom, tranquille, à 5 min en voiture de la baie, pour 22$ par personne pour un powered site, avec wifi.
Que voir et faire : Les vers luisants à Waipu et ceux à Kaiti. Il y a une route non goudronnée de quelques km pour y accéder depuis la SH1. Le tour en bateau pour aller voir les dauphins à Paihia, à 115$ par personne avec la possibilité de nager avec, mais pour cela il ne faut pas qu’il y est de jeunes ou de bébés donc c’est quasi impossible. Vous pouvez également faire une croisière pour découvrir toute la baie et son trou dans la roche (Hole in the Rock) ou le faire en hélicoptère. Il y a la possibilité d’y plonger également. Une balade de 30 min dans la Kauri Forest ou de nombreuses marches tout au long de la côte, allant de quelques minutes à quelques heures.
L’extrême Nord à Cape Reinga
Apres avoir été à l’extrême sud de l’île du sud, à Bluff (lire ici), on se dirige gentiment vers le point le plus au nord de l’île du Nord, le Cape Reinga. L’endroit est culturellement très important pour les maoris, car c’est ici que les âmes des défunts se rendent pour y entrer dans le monde de l’au-delà, via l’ouverture se trouvant sous les racines d’un Pohutukawa (un arbre endémique aux fleurs rouges) qui rejoingnent l’océan et qui est vieux de plus de 800 ans. D’un point de vue naturel, c’est également un endroit intéressant, car c’est ici que se rejoignent la mer de Tasman depuis l’ouest, et l’océan Pacifique depuis l’est. Les courants sont forts et on voit les deux masses se mélanger, offrant une eau très riche en nutriments et donc extrêmement poissonneuse. On s’engage sur la route qui mène à la pointe, autrefois sans aucune station service sur plus de 90km (180km aller-retour) et il était donc obligé de faire le plein dans la ville de Awanui. Mais maintenant les choses ont bien changées et on trouve quand même une ou deux stations en chemin. On s’arrête à Rarawa Beach pour faire une petite pause, et on y découvre une superbe plage de sable blanc pratiquement déserte, avec une eau turquoise. Ça faisait longtemps qu’on avait plus vu ça! Cela ne colle pas tout à fait avec la température, car le fond de l’air est frais et l’eau encore plus, mais c’est absolument magnifique! On cherche quelques petits coquillages polis par le sable, laissant ainsi ressortir la nacre colorée à la lumière du soleil et on repart direction la pointe. En chemin on aperçoit les fameuses dunes de Te Paki, qu’on escaladera le lendemain sur le chemin du retour. La route est juste sublime dans cette région de l’île, on roule au sommet des crêtes avec une vue à 360 degrés sur la forêt, l’océan et les dunes, on a envie de s’arrêter partout, et on fait de nombreux stops d’ailleurs. Pour Vanessa, le choc commence là, un paysage qu’elle n’avait encore jamais vu, une atmosphère si spéciale, et un temps parfait, juste de la magie autour de nous. On reste émerveillé par cette nature et cette beauté que nous avons la chance de découvrir. On arrive à Cape Reinga, il n’y a quasi personne, on profite donc des lieux dans un calme absolu, seulement nous, le vent et l’océan. Arrivés au phare, on prend le temps de nous imprégner de la puissance des éléments qui sont devant nous. On aperçoit le fameux Pohutukawa en contre bas, au bord d’une petite baie de sable. C’est magnifique et avec le soleil qui descend, les reflets sur la mer donnent une impression un peu surréaliste. On reste un moment au sommet, à contempler cette vue incroyable, où on se sent à juste titre « au bout du monde ». La journée touche à sa fin et on se dirige à quelques minutes de là dans la superbe Tapotupotu bay. Pour Lorin les souvenirs remontent car c’est un endroit qu’il avait particulièrement adoré, il y était venu avec le frangin en 2002 et ils y étaient seuls, et s’étaient fait une partie de pêche absolument mémorable. L’endroit est en pleine nature, pratiquement pas aménagé, juste des toilettes, mais bien moins tranquille qu’auparavant, les tours bus viennent y amener leurs touristes pour y prendre le lunch, et la capacité du campground a plus que quadruplé, il y a également des espaces de pic-inc sur presque tout le bord de la baie. Heureusement les choses ont été bien faites et l’endroit reste fabuleux et unique avec sa rivière qui se jette dans l’océan et dont le petit estuaire se rempli et se vide au grès des marrées. On se trouve un coin un peu à l’écart et on s’installe pour la nuit. Vu qu’on est loin, très loin, de toute ville ou source lumineuse, le ciel est simplement incroyablement étoilé. Même s’il n’était pas totalement dégagée ce soir-là, c’est à nouveau un endroit où on peu profiter de d’un spectacle nocturne superbe. Cela restera l’un de nos endroit préféré de la Nouvelle Zélande, tant pour son importance culturelle que pour la beauté de la nature et des paysage qu’on y trouve. On repart le lendemain avec un grand ciel bleu, pour redescendre direction Auckland. En chemin, on s’arrête pour escalader l’énorme dune de Te Paki, que les gens s’amusent à descendre en bodyboard. Nous on le fait à pied et c’est sympa aussi. Une fois en haut, on se retrouve au milieu d’une étendue énorme de sable à perte de vue, c’est impressionnant et on ne savait pas qu’on pouvait voir ce genre de paysage ici, encore une belle découverte que nous offre la Nouvelle-Zélande. On redémarre en direction du sud et on passe la nuit dans un camping à Orewa, au dessus d’Auckland, avant d’aller le lendemain au centre de l’île du Nord, visiter le pays des Hobbit à Matamata.
Où dormir : A Tapotupotu Bay, il y a un campground du DOC, à 8$ par personne, juste au bord de l’eau vraiment très beau, avec toilettes et douches froides.
Que voir et faire : Les dunes de sables à Te Paki où il est possible de louer une planche pour faire du sandbaord. La plage 90 miles beach qui longe toute la côte Ouest. Vous trouverz également de nombreuses activités à faire tout au long de la route pour Cape Reinga, comme du kayak, de la pêche ou encore des marches. La superbe plage de sable blanc de Tarawa Beach. Bien sûr la vue spectaculaire depuis le phare de Cape Reinga. La plage de spirit bay et les marches à faire aux alentours.