Notre Bilan de la Nouvelle-Zélande
Aotearoa qui signifie « pays du long nuage blanc » est le nom donné à la Nouvelle-Zélande par la langue maori, et apparemment même à cette époque, en NZ, le grand ciel bleu était plutôt rare. Elle est constituée de deux grandes îles, l’île du Nord et du Sud, et de nombreuses petites autres, telles que l’île Stewart qui abrite un grand nombre d’animaux endémiques du pays, comme certaines espèces de kiwi ou le kakapo (un perroquet-hiboux) qui y vivent en toute quiétude grâce à l’absence de prédateurs. La Nouvelle-Zélande se situe à environ 2000 km de l’Australie, dont elle est séparée par la mer Tasmane, ce qui la rend très isolée. C’est justement grâce à cet isolement que le pays possède une flore et une faune si riches et variées et avec un très fort endémisme. C’est pourquoi les autorités sont si exigeantes lors des arrivées en avion, et que les contrôles soient si poussés. Le risque d’introduire une espace parasite risquant de nuire à tout un écosystème endémique, est très élevé, on trouve d’ailleurs souvent des pièges à rat ou à opossum, de vraies plaies ici, qui mangent notamment les œufs des kiwis, l’animal emblématique du pays et détruisent les forêts. Le fait d’écraser les opossums en voiture est presque devenu une nécessité, ou en tout cas un sport national (désolé pour eux). Environ 80% de sa flore n’existe que dans le pays, et plus de quarante genres sont endémiques. La politique en matière de biodiversité est donc très stricte. Il n’y a qu’à observer un peu autour de nous, pour en apercevoir toute la richesse. Ce sont malheureusement les hommes qui ont introduit la majorité des mammifères non-marins des îles, car avant cela on n’y trouvait que des chauves-souris, d’où l’évolution de certains oiseaux vers la perte de leur faculté de voler en l’absence totale de prédateurs à terre. L’histoire du pays est assez particulière, voir courte, car elle est l’un des dernier territoires à avoir été découvert par l’homme, les premiers furent bien entendu les maoris venu de la Polynésie entre 1050 et 1300, les européens, quant à eux, n’arrivèrent qu’en 1642. Et comme beaucoup le pensent, ce n’est pas un britannique qui a posé en premier ses pieds de colon sur ces terres, mais bien un néerlandais (la précision est importante pour Nath), Abel Tasman. Le nom du pays tient d’ailleurs à cet origine-là, Zélande signifiant « terre des mers » en néerlandais, mais c’est également pour rappeler une région tout au Sud du pays, portant le même nom. C’est le navigateur James Cook qui anglicisera le nom de Nova Zeelandia, en New Zealand. Cette étape du voyage était vraiment importante pour nous, on y a retrouvé des amis et de la famille, et un mode de voyage qu’on avait adoré en Australie, le Road Trip en van ! Une sensation de liberté dans une nature incroyable, qui nous a fait vibrée durant deux mois. L’Australie c’était déjà bien cool, mais on a tout de même été un peu freiné dans ce côté « Freedom », même si on a adoré ce qu’on a vu et vécu, la liberté qu’on pensait trouver avec le van n’était pas vraiment au RDV, surtout pour les jolis spots dodo. Pour cela, la Nouvelle-Zélande nous a clairement réconcilié avec ce côté-là, des endroits magiques pour dormir, une nature riche et généreuse, un accueil chaleureux, franchement le pied total ! Mise à part la météo capricieuse, c’est clair qu’à ce niveau on peut faire mieux, le reste était grandiose. La richesse du pays, du nord au sud, est exceptionnelle, et contrairement à l’Australie, il suffit de rouler quelques dizaines de kilomètres pour changer de paysage. Regarder le Seigneur de Anneaux et vous verrez les nombreux décors potentiels qu’on peut voir en Nouvelle-Zélande. Et ce qui nous a le plus plu dans ce pays du bout du monde, c’est son côté sauvage (principalement dans l’île du Sud) si facilement accessible. Tout ou presque est fait pour accueillir des campervan un peu partout, mais en restant simple et pratiquement toujours dans un cadre qui reste naturel. Le DOC (Departement of Conservation) fait un travail considérable et a mis en place un grand nombre de site de camping, parfois gratuit, des fois payant (mais pas cher du tout) afin de canaliser le flux de touristes, mais il y a tellement d’endroits à disposition qu’on se retrouve très rarement les uns sur les autres. De plus la majorité des touristes est principalement des randonneurs et des amoureux de la nature (et en moyenne un peu plus âgés qu’en Australie) et est donc respectueuse de celle-ci. Les règles mises en place en NZ (véhicules auto-suffisant, reprendre ses déchets, ne pas déranger la faune, etc…) et qui sont énoncées régulièrement et un peu partout sont largement respectées et la population est bien souvent la première à montrer l’exemple. C’est donc naturellement que tout le monde suit le mouvement et prend soin de la nature qui l’entoure tout en en profitant quotidiennement. Un bel exemple à suivre et qui nous a séduit chaque jour.
Notre Itinéraire
Du 2 novembre 2016 au 6 janvier 2017
En sachant que nous avons fait des allées et venues, les villes ne sont pas toujours dans l’ordre exacte de notre parcours.
L’île du Nord : Auckland – Bay of Island – Cape Reinga – Matamata – Mount Maunganui – Péninsule de Coromandel – Rotorua – Taranaki – Taupo – Tongariro NP – Napier – Wellington
L’île du Sud : Nelson – Abel Tasman NP – région de Malborough – Kaikoura – Hanmer Spring – Christchurch – Akaroa – Timaru – Oamaru – Péninsule d’Otago – Catlins – Bluff – Te Anau – Milford Sounds – Queenstown – Mont Cook – Lake Pukaki et Tekapo – Hakatere – Arthur’s Pass – Greymouth – Westport
Notre Budget (les données ne comprennent pas la location de van)
1 CHF = 1.4 $NZ
Total des dépenses en NZ : 5’566.96 CHF pour un total de jours 65
Moyenne générale par jour et par personne : 42.82 cHF
Location de van : 5’116 $ en tout, comprenant la réduction de location longue durée d’un peu plus de 200$NZ. Un total donc de 65 jours, dont 43 jours à 68 $NZ en basse saison, et en 22 jours à 107 $NZ en haute saison. Le Van était pour 3 personnes. On déconseille l’agence de location HappyCamper, car le service client était pratiquement absent et très mauvais, et l’état du van laissait à désirer dès le départ. Quitte à mettre un tout petit peu plus, mieux vaut opter pour une bonne agence.
Ce qu’on retient de la Nouvelle-Zélande
- La différence entre les îles Nord et Sud : Les deux îles possèdent leurs charmes et leurs atouts, mais pour les amoureux de la nature et du trek, on conseille de passer plus de temps sur l’île du sud qui est plus sauvage et plus grandiose. L’île du Nord a beaucoup à offrir également, mais elle est plus peuplée et une large surface est dédiée à l’agriculture. Il y a donc plus de distances sans grands changements que dans le sud, où derrière chaque montagne se cache un nouveau paysage époustouflant. On trouve aussi que côté nature, on en prend plein les yeux dans le sud qui est plus préservé et bien plus sauvage. Le Sud c’est aussi là on est tout de suite plongé dans les films du Seigneur des Anneaux, c’est sûr dans le Nord il y a la Comté et le Mordor, mais le Sud c’est juste un décor de film perpétuel. En somme, le Sud c’est magique !
- Les paysages et les animaux : On dit souvent qu’en Nouvelle-Zélande le paysage change tous les 50 kilomètres, et on le confirme. La diversité des panoramas et des paysages est simplement incroyable et s’explique par l’amplitude climatique du pays (c’est un peu comme si les deux îles se trouvaient en terme de latitude, entre l’Italie et la Finlande). Tout au nord on est dans des étendues de sables et des collines recouvertes de maquis, alors que tout au sud on se trouve dans des fjords et des glaciers, et entre les deux on croise presque toutes les déclinaisons possibles d’écosystèmes. On passe ainsi des plages aux collines verdoyantes de la comté en passant par de la forêt tropicale, puis tempérée, puis humide, des paysages volcaniques, des étendues presque désertiques, des montagnes, des vallées et des glaciers ou encore des côtes sauvages et des falaises abruptes pour ne citer que quelques unes des possibilités néo-zélandaises. La nature est donc le joyeux du pays, et les kiwis (les habitants) en sont fiers et en prennent particulièrement soin. On a parfois l’impression qu’il y a une symbiose entre l’homme et la nature, comme à Oamaru et Timaru où les colonies de pingouins bleus vivent carrément aux milieux des habitations qui bordent l’océan, où encore à Akaroa qui abrite la plus grande population de dauphins d’Hector au monde dans sa baie. Au fil des décennies, les néo-zélandais ont, semble-t-il, réussi à intégrer la nature à leur quotidien et leur développement urbain et économique. Il faut aussi souligner l’incroyable degrés d’endémisme du pays (espèces qu’on ne trouve qu’à cet endroit), tant au niveau de sa flore que de sa faune. Et en plus d’un fort endémisme, il y a beaucoup d’animaux à voir un peu partout. Entre les nombreuses espèces d’oiseaux et le foisonnement de la vie sous-marine ont est servi et on a pratiquement l’impression que le pays tout entier est un sanctuaire naturelle. Et nous, forcément, on a adoré! Et comme on l’a dit plus haut, la NZ c’est le pays du Seigneur des Anneaux, donc on vous laisse juste imaginer par vous-même les paysages.
- Le kiwi : Il faut savoir que lorsqu’on parle d’un kiwi, on peut parler de plusieurs choses. Un kiwi ça peut être le fruit, typique de Nouvelle Zélande mais pourtant aux origines chinoises, ça peut être l’habitant du pays, ou ça peut être l’oiseau si rare et emblématique. Difficile de dire qui de l’oiseau ou du fruit a donné son nom à l’autre, mais ce qui est sûr c’est que le kiwi, ici, c’est tout un symbole. On parlera plutôt du volatile, qui mérite spécialement qu’on s’y attarde un peu, tant il cristallise une bonne partie des problématiques environnementales du pays, mais aussi symbolise ses particularités et son identité. D’abord, il ne vole pas, car il a des moignons à la place des ailes. Il a évolué de cette façon car il n’avait pas de prédateurs à terre avant l’arrivée des colons. Mais depuis ce jour, il a été chassé, son habitat a fondu comme peau de chagrin, ses prédateurs (rats, opossums, chats, chiens rongeurs en tous genres) se sont multipliés. Dès lors, cet oiseau sans défenses, il possède juste de bonnes griffes, a vu sa population diminuer drastiquement au point d’être une espèce en danger et d’être bien malgré elle, devenue le symbole de l’ensemble de la flore et de la faune néo-zélandaise mise en périple par les espèces invasives venues d’ailleurs. Et encore aujourd’hui, malgré tous les efforts mis en place pour sa protection à travers tout le pays, il y en a de moins en moins. La partie n’est donc de loin pas gagnée. L’oiseau est tellement discret (et nocturne) qu’il est pratiquement impossible de l’observer dans la nature. Nous avons eut la chance de les côtoyer au pied du Arthur’s pass, sans les voir pour autant, mais en les entendant à la tombée de la nuit au beau milieu de la forêt (à lire ici)! Plus tard, on a pu les observer dans le parc animalier de Mount Bruce Reserve, qui est l’un des centres de protection et de reproduction des kiwis et nous avons eu la chance d’assister au début de l’éclosion d’un œuf. Encore un spectacle fantastique qu’on n’est pas prêt d’oublier (à lire ici). La grandes majorité des kiwis (les néo-zélandais donc) n’ont jamais vu l’oiseau en liberté (le kiwi donc) mais ont un profond attachement à cet animal qui fait partie intégrante de leur identité.
- La culture Maori : Quand on met les pieds en NZ, il ne faut pas s’attendre à voir des Tiki et des villages traditionnels maoris à tous les coins de rue et ceux qui s’attendraient à ça seront sûrement un peu déçus. On se trouve dans une société tout ce qu’il y a de plus occidentale, bien anglo-saxonne même, mais pourtant la culture maorie est omniprésente. Tout d’abord, l’identité maorie est plus marquée dans l’île du nord que dans celle du sud, car la majorité de la population originelle y vit, et les grands événements historiques s’y sont déroulés. Ensuite, il faut comprendre que les traces de la culture maories font partie intégrante de l’identité néo-zélandaise portée par la population au quotidien (d’origine maorie ou non). Contrairement à l’Australie qui a parquée les aborigènes dans des camps en dehors des villes et a mise en place une stratégie d’acculturation presque totale au début du siècle, on se trouve presque à l’opposé en Nouvelle-Zélande, non pas que tout ait été parfait pour l’intégration des populations autochtones, loin de là, mais on assiste depuis quelques décennies à une magnifique valorisation de la culture maorie, qui est maintenantadoptée par tous et respectée de chacun. De ce fait, les traces culturelles maories sont sous nos yeux chaque jour, sans qu’on s’en rende toujours compte. Il suffit de voir les passeports kiwi, les avions de la flotte de la compagnie nationale, le symbole de l’équipe de rugby, et plus simplement tous les supports dédiés aux tourisme, qui comportent pratiquement tous sans exception la fameuse feuille de la fougère argentée ou le symbole du koru représentant une feuille de fougère entrain de se dérouler, plante emblématique et endémique du pays, reprise dans certaines légendes maorie et symbolisant la croissance, la force et la paix. Inutile de trop s’attarder ici sur le fameux Aka des All Blacks, qui est l’une des plus belle mise en avant de la culture maorie au niveau international et que le monde entier admire. Il suffit également de regarder une carte du pays pour constater que la plupart des noms de lieux et de villes ont gardés leur consonance maorie (Whangamata, Whanganui, Kaikoura, Akaroa, Tapotupotu bay, etc… sont quelques exemples parmis beaucoup d’autres), ou de lire les panneaux explicatifs dans les lieux touristiques, qui sont systématiquement traduits en maori, ou encore de se pencher sur les noms des espèces endémiques de la flore et de la faune (les arbres pohutukawa ou Kauri, les oiseaux Kea, Kokako, Pukeko par exemple, pour ne citer que ceux-ci). Bien évidemment, il faut aussi parler du tatouage (on s’est d’ailleurs un peu lâché la dessus à Rotorua, capitale de la culture maori), art ancestral si important pour les peuples polynésiens (dont les maoris font partis) et que nombre d’habitants exhibent fièrement comme signe d’appartenance à la culture mère. On croise de temps à autres des maoris portant le Ta Moko, tatouage faciale haut en significations. D’autre part, le peuple maori ne vit pas en marge de la société et est intégré dans le système éducatif et économique comme tout un chacun. Ce respect et cette mise en valeur consciente de l’identité maorie, également fièrement portée par les générations issues du colonialisme anglais, nous a réellement plu et montre (à l’instar du voisin australien où la condition aborigène est misérable) qu’il est possible d’unir sous une même bannière des identités originelles et coloniales pourtant si différentes.
- La qualité de vie : On va le dire sans détour, rares sont les pays où on s’est dit qu’on pourrait sans problème s’y installer et y vivre. La Nouvelle-Zelande fait parti de ceux-ci, tant la qualité de vie y est bonne. Le côté sauvage et naturel si bien mêlé au modernisme et au confort, font qu’il fait bon vivre au pays des kiwis. On a pu tester pendant quelques jours la vie en banlieue d’Auckland chez nos amis Lu et Pato, qui nous ont chaleureusement accueillis, et sincèrement la vie y est douce et agréable. La proximité des montagnes, des plages et de l’océan, de tous ces terrains de jeux idylliques qu’on trouve à travers tout le pays font qu’on s’y sent naturellement bien. Et en plus, les kiwis sont sympas, quoi demander de plus. Bon, c’est vrai qu’il y a tout de même un petit bémol, le climat, à peine venteux et frais pour nous (surtout pour Nath), mais cela reste qu’une petite ombre au tableau comparé au reste.
- Notre Road Trip : Bien évidemment, l’une des meilleures façons de découvrir ce magnifique pays est de le parcourir en campervan. On y avait déjà goûté en Australie, mais ici il y a un sentiment de liberté plus marqué, car on sent moins de restrictions (pourtant il y en a). Tout est fait pour les voyageurs en campervan, et on trouve toujours facilement des espaces prévus pour se poser dans des cadres toujours magnifiques, ce qui nous a un peu manqué en Australie où il était quasi interdit de camper un peu partout (on parle ici de camping en pleine nature). On a toujours un large choix entre véritables camping bien placés ou sites de camping plus simples en pleine nature, parfois légèrement aménagés parfois totalement sauvages. Le fait d’avoir autant de choix fait qu’on ne sent jamais entassé et qu’on a tout loisir de chercher son propre petit coin de paradis. Le voyage en campervan permet également d’être flexible dans son itinéraire et de s’arrêter où bon nous semble pour profiter d’un panorama, de la nature ou simplement d’un moment de calme et c’est bien cette liberté qu’on a adorée! Le pays a tant à offrir qu’il faut prendre le temps pour en profiter pleinement. D’autres part, le paysage change régulièrement c’est un réel plaisir de conduire sur ces routes magnifiques. Rouler, trouver une petit spot au bord d’un lac ou face à l’océan, cuisiner un petit plat et boire une petite bière sur sa chaise de camping en étant perdu au milieu de nul part face à un superbe paysage, c’est peut-être ça le bonheur.
Sites visités et inscrits à l’UNESCO
- Le site de Te Wahipounamu, comprend 4 parcs nationaux, dont les Fiordland et le Mount Cook que nous avons fait, ainsi que Westland et Mount Aspiring que nous n’avons pas visités. (1990)
- Le Tongariro National Park (1990)
Nos rencontres
Auckland : On a eu la chance et le plaisir de retrouver nos amis Pato et Lu rencontrés plus d’une année en arrière en Chine durant notre premier mois de voyage, qui nous ont acceuilli chez eux durant une semaine, et où nous avons fait la connaissance de la sœur à Pato, Laetitia et de son copain German. Merci encore pour tout les amigos. Et une DC de plus en vadrouille, eh oui, Vanessa, la dernière de la tribue DC est venue nous retrouver pour trois incroyables semaines, nous plongeant encore plus dans l’ambiance Seigneur des Anneaux. Pour terminer, Stéphane, appelé aussi notre sauveur, ancien poto de Lorin à l’époque du Dublin’s à la Tchaux, était simplement venu en NZ pour ses vacances, et comme tout arrive pour une raison, il apprend que nous sommes également dans le coin et que nous nous sommes fait volés tout notre matériel photo. C’est donc avec une grande générosité qu’il nous propose sa GoPro pour nos derniers mois de voyages. On passera ainsi une très bonne soirée autour de quelques bières avant son départ.
Wellington : Pierre, encore et toujours lui, que dire de plus. Il est toujours là, à croire qu’il nous suit… Non mais, trêve de plaisanterie… après la Thaïlande, la Birmanie et le Cambodge, nous voilà encore les trois réunis, mais cette fois-ci en NZ. On t’aime copain de nous !
Akaroa: Marion et Florent, un super couple de voyageur avec qui on a vite croché, juste le temps de partager une excursion avec les dauphins d’Hector et un Fish and Chips qu’il est déjà temps de se quitter. Mais ce n’est que partie remise, RDV à Queenstown pour une soirée mémorable.
Queenstown : Eh oui on se trouve ici dans cette ville qui nous a rappelé la Suisse, avec Marion et Florent et leurs amis, Fred, Madeleine et Vincent, pour une superbe soirée au Cowboy, ambiance Far West garantie, surtout avec une bande de kiwis fêtant un enterrement de vie de garçon. On dira également adieu à Nicky (la maman de Nath) qui nous a suivi durant presque trois semaines ici, mais également quelques semaines aux Vanuatu et en Indonésie.
La Nouvelle-Zélande, est-ce qu’on y retournerait ?
Off Course ! Et sans hésiter une seconde! La NZ c’est clairement l’un de nos coups de cœurs. On est FAN de ce pays, de sa nature, de sa culture, de ses habitants et de sa qualité de vie !