L’île de Pâques

Un séjour qu’on n’est pas prêt d’oublier

Pour bien comprendre l’atmosphère particulière dans laquelle on se trouve ici, il faut déjà saisir le contexte historique et surtout les mythes et légendes dans lesquels on baigne. C’est pourquoi on a commencé par une intro de l’île avant de raconter notre séjour. En plus de tout cela, il faut savoir qu’on a débarqué en plein festival culturel, celui qui est attendu toute l’année, le Tapati Festival, qui est d’ailleurs la plus grande manifestation culturelle du Pacifique. C’est donc dans une ambiance plus que spéciale, qu’on pose les pieds sur l’île de Pâques.

Le festival Tapati

Au cœur de ce festival célebré depuis 1975, on peut découvrir différentes danses et musiques sous forme de spectacle sur une grande scène, mais également diverses pratiques culturelles, tel que l’artisanat, ou encore de nombreuses épreuves de sports locaux, comme le Pei Haka, des hommes se laissant glisser le long d’une pente sur des troncs de bananiers, les participants peuvent atteindre jusqu’à 80 km/h. Il y a également de nombreuses activités durant la journée, autant pour les touristes que pour les pascuans, comme un impressionnant Ma’aa, un immense four creusé dans la terre, où les aliments sont posés et ensuite recouverts de feuilles de bananiers et de pierres volcaniques pour cuire à l’étouffée. C’est d’ailleurs le même de four traditionnel qu’on trouve en Polynésie française. Ce festival est surtout l’occasion pour les pascuans de renouer avec leur culture et leurs racines, revivre des évenements significatifs et partager tout cela ensemble dans une ambiance festive et joyeuse. Vous l’aurez compris entre les moaïs et le Tapati, nos quatre jours seront passées très très vite. Si on avait su tout cela à l’avance, on serait bien resté quelques jours de plus. Lors de notre première soirée, il y a eu un concours pour élire les meilleurs chateurs et musiciens. On a ainsi eu droit à une succession d’acordéonistes, puis de guitaristes qui chantaient carréement bien pour certains. La soirée s’est poursuivie avec ce qu’on attendait le plus, les troupes de danses traditionnelles. Un spectacle juste fabuleux, une centaines de femmes et d’hommes dansent ensembles tout en racontant les légendes de l’île sur les musiques dynamiques de l’orchestre. On en a pris plein les yeux et les oreilles ! Grandiose ! On a également participé au cortège des chars, où toute l’île s’est donnée RDV. On s’est retrouvé au milieu de magnifiques pascuans habillés tarditionnellement, que cela soit les tout petit jusqu’au mamies, et même les chiens ont eu droit à leur moment de gloire. Bref, entre les chants, les sourires, la musique et tout ces beaux visages, on ne pouvait être que comblés. Tout le long de la route, on trouvait de quoi manger des brochettes au BBQ, des ananas incroyablement savoureux et toutes sortes d’autres choses. Près de 2h d’attente pour un départ du cortège annoncée à 17h, on abondonne notre poste pour rejoindre la grande scène et la petite plage, pour y attendre les chars. Au final, les premiers ont débarqué après le coucher du soleil, vers 21h30, mais malgré cette longue attente, l’ambiance est plus qu’au RDV, tout le monde chante et danse, il y a des groupes faisant des shows et des Aka. On a l’impression d’être dans un autre monde, et on adore ça ! Un festival qui vaut vraiment la peine d’être vécu, surtout pour tout amoureux de la culture polynésienne.

 

Quatre jours au cœur des moaïs


Lorsqu’on a commencé à choisir les destinations de notre voyage, l’île de Pâques faisait clairement partie des sites incontrournables, surtout en planifiant la Polynésie avant, on ne pouvait pas passer à côté de cette merveille perdue au milieu du Pacifique. Après la Nouvelle-Zélande et la Polynésie française, on avait déjà découvert une belle partie de la culture polynésienne, c’est donc bien impatient qu’on embarque pour Rapa Nui. Il nous manque plus que Hawai, et on aura parcouru les trois sommets du triangle polynésien et son centre. Départ de nuit à 2h30 du matin depuis Tahiti et 5h de vol plus tard on apperçoit enfin notre destination pour nos quatre prochains jours. On arrive « un peu » fatigué, avec le départ en plein milieu de la nuit et un décalage de 6h, et on pose le pied à 13h sur l’île, en étant légèrement dans les choux mais hyper heureux d’y être enfin. Malgré la toute petite taille de l’aéroport, on doit encore faire près d’une heure de queue et passer le scanner des bagages pour sortir de là. A notre arrivée, on voit le guichet pour acheter les billets d’entrée du parc de Rapa Nui (la plupart des sites ne sont accessibles qu’avec ce billet), on avait lu sur des blogs qu’on avait meilleur temps d’acheter directement à l’aéroport ces billets, et surtout en pesos ce qui reviendrait moins cher qu’en dollars. Sauf que…. venant de la Polynésie, on a genre 17’000 pesos (environ 25$) sur nous qu’on a pu échanger vite fait avec un autre voyageur (on a pas trouvé de change en pesos à Tahiti), et ne trouvant aucun ATM à l’entrée de l’aéroport, impossible d’acheter les billets, car ils n’acceptent que du cash à cet endroit-là, mais surtout la somme demandée est de 80$ par personne, soit 20$ de plus, qu’en 2016 ! Et maintenant, la somme en pesos est équivalente aux dollars, donc cela ne change plus rien. Tanpis, on trouvera quelque chose en ville ou au centre d’information. En même temps, il n’y a qu’une ville sur toute l’île, celle de Hanga Roa, donc cela ne sera pas trop difficle de trouver l’un des points de vente. En attendant notre hôte, Octavio, du camping Ana Toai où on a réservé quatre nuits, on fait la connaissance d’un couple de retraités français en voyage ici pour le festival Tapati, hyper sympathiques, qui attendent d’embarquer pour Santiago. En discutant de leur séjour et de notre voyage, ils nous proposent de racheter à bas prix leurs passes pour le parc valabes encore quelques jours (le passe est valable 10 jours en tout). On leur explique que nous n’avons que quelques pesos sur nous et aucun moyen de retirer des sous ici, et ils finissent par accepeter nos 17’000 pesos en échange des deux billets, soit moins de 30 $ pour deux entrées valant 160$ en tout ! On est hyper supris et content, c’est vrai que pour nous c’est une sacrée économie et un casse-tête en moins. C’est à ce moment qu’Octavio débarque tout transpirant et tout désolé, car il n’a reçu notre confirmation d’arrivée qu’il y a quelques minutes. Normalement, la tradition veut qu’on soit accueilli avec un collier en fleur, comme en Polynésie française, faute de temps, on est accueilli avec des bières bien fraîches (on ne pouvait pas être plus content). En fait, il fait super chaud durant la journée, une chaleur plus sèche comme dans le sud de l’Europe, et plutôt frais durant la nuit (enfin tout est relatif, disons 15 degrés, ce qui après un mois passé en climat tropical, nous parraît froid). On découvre notre fameux camping et quelle belle surprise, à même pas 10 min du centre et de la plage, face à l’océan et à nos premiers moaïs (ceux privilégiés pour les photos « coucher de soleil »). Bref, on est super content de l’endroit, l’accueil est chaleureux, il y a de la place, la cuisine et les douches sont propres, on ne pouvait pas demander mieux pour le prix. On fait rapidement la connaissance d’un couple de français, randonneurs dans l’âme, Margot et Ludo, finissant leur trip en Amérique du Sud avant de retrouver la France. Comme on l’a expliqué, on débarque en plein festival Tapati, ce qui est une très belle suprise pour nous, de part tout l’attrait folklorique et culturelle bien sûr, mais également pour l’ambiance qui s’en dégage. On adore cette ambiance autour des festivals, cela nous rappelle l’été chez nous, mais surtout notre Festi’Neuch bien aimé qu’on a hâte de retrouver d’ici quelques mois. C’est clair que ce séjour sera bien différent de tous les autres et on attend qu’une chose démarrer notre découverte de l’île et de ses mystères. En attendant on profite d’un magnifique couché de soleil juste en dessous de notre camping, et qui se couche juste derrière les Moaïs du site de Ahu Tahai. C’est le spot pour les coucher de soleil de l’île et il y a du monde, mais l’ambiance est calme et relax en attendant que la soirée commence devant la scène du festival.

Le tour de l’île en scooter

La plupart des conseils que nous avions pu lire ou entendre, nous disaient de louer un scooter ou des vélos durant 24h pour au moins faire un lever et coucher de soleil derrière ces géants de pierre. Pour le coucher, on n’avait pas vraiment besoin d’un moyen de transport, vu que notre camping se tenait face au fameux spot « sunset », mais c’est clair qu’on avait aussi envie de voir un lever. Entre les quelques balades shooping dans le centre ville et les baignades dans les bassins creusés dans la roche au bord de l’océan, on part découvrir les moaïs et les différents sites culturels de l’île. Margot et Ludo nous avaient expliqué que deux des sites, celui de la carrière Rano Raraku et celui de l’ancien village Orongo ne pouvaient se visiter qu’une fois et qu’ils tamponnaient le billet à l’entrée… ! Autant vous dire qu’on tombe un peu des nues, on pensait avoir fait une belle affaire et on se rend compte qu’elle n’était peut-être pas si bonne que cela. Il y a tellement peu d’informations sur la manière de visiter l’île, que la plupart des gens qui achètent leur billet ne le savent même pas, comme ce fût le cas pour ceux qui nous l’ont vendu (enfin on préfère le croire en tout cas). On se dit tout de même que pour le prix du billet, c’est un peu gonflé de ne pouvoir aller qu’une seule fois dans les deux sites les mieux préservées, surtout que le pass est valable 10 jours! On se posera encore une fois la question du prix, après avoir découvert certains sites laissées à l’abondon, l’état des routes ou encore l’absence ou l’illisibilité des panneaux explicatifs… En attendant, on se retrouve avec deux billets dont l’entrée à certains sites ne serait plus valable. Tanpis, on tente toute même la chose, on verra bien au moment venu. On se lance donc dans le tour de l’île qu’on prevoit de faire sur deux jours, on s’entend bien, le tour de l’île se fait en une journée si on prend bien le temps de tout visiter, et en une demie journée en étant speed, mais on avait envie de profiter également de l’ambiance du festival et des activités, on a donc opté pour la location d’un scooter pendant 24h, à partir de midi, ce qui nous laissait le temps également de profiter du festival. On demarre donc en début d’après-midi par la côte est de l’île. A part la voie principale qui traverse l’île du nord au sud, les routes ne sont pas terribles et remplies de nids de poules qu’on évite tout en regardant le paysage magnifiques autour de nous. La côte est sauvage et volcanique, l’herbe est sèche, les chevaux se baladent et l’océan donne dans les bleus profonds, franchement on avait pas encore vu ce genre de paysages et c’est majestueux ! On s’arrête à un premier site, le Ahu Hanga Pukoura où les Moaïs sont couchés et leurs coiffes ont roulées au bord de l’eau. Un cercle de pierres au sol témoigne d’une zone sacrée. On est seuls sur place et on prend le temps de marcher tranquillement autour de ces ruines dans ce décor magique. On enfourche notre scooter pour aller au site suivant tout en faisant un petit stop photo au bord de l’océan qui vient se fracasser contre les roches volcanique. On arrive au site de Ahu Ura Urania Te Mahina où on retrouve des Moaïs couchés, ainsi qu’une petite grotte. Des pêcheurs plongent dans l’eau juste à côté avec leur filets au milieu des vagues. On continue vers un autre site le Ahu One Makihi, un peu moins bien indiqué celui-ci, mais très beau et sans personne. On se retrouve devant un Moaï couché sur le dos et auprès duquel on peut s’approcher de tout près pour en voir tous les détails. Le tout disposé au bord d’une falaise surplombant une petite baie turquoise. L’endroit est magnifique et on reste un petit moment là à contempler ce spectacle. Au loin on apperçoit la fameuse carrière, où justement on ne devrait pas pouvoir aller car notre pass a déjà été tamponné par ceux qui nous l’on vendu. On se dit qu’on va essayer et qu’au pire on fait les étonnés. Le jeune homme à l’entrée nous explique qu’on ne peut pas accéder au site, alors on fait ceux qui ne comprennent pas pourquoi car personne ne nous l’a dit, et après quelques phrases en espagnol approximatif il nous laisse passer quand même en nous faisant remplir le registre pour chaque visiteur. Et sincèrement ça aurait été dommage de manquer ce site car c’est clairement l’un des plus beaux et des plus impressionnants. C’est donc la carrière, nommée Rano Raraku, située au pied du volcan Rano Raraku, et d’où sont sorti de terre tous les Moaïs. Il en reste encore beaucoup ici, à moitié enterrés pour certains, encore dans la roche pour d’autres, au milieu des champs qui montent sur les pente du volcan. La vue est superbe et on déambule au milieu de ces énorme têtes posées là pour l’étérnité. Au loin on peut voir le site suivant, le célèbre ahu où trônent les 15 Moaïs et qui est l’endroit par excellence pour venir y voir le lever de soleil. On fait notre tour à la carrière puis au bord du cratère du volcan verdoyant, non sans une petite appréhension quand même que le gardien voit la supercherie en vérifiant dans son registre si on était déjà passé avant… mais au final personne n’aura remarqué. On poursuit vers le site Ahu Tongariki où se trouve l’alignée des 15 Moaïs qu’on voit régulièrement en photos. Le site est splendide et ça paraît un peu surréaliste de se retrouver face à ces statues pour de vrai. Encore une fois c’est des images qu’on avaient vues que dans des livres et là on y est en chair et en os, et on prend la mesure de la chance qu’on a d’être là. Tous ces Moaïs fixent les pans du volcan juste en face, et font dos à l’océan, on a ce sentiment d’être tout petit devant ces regards figés dans un autre temps mais qui paraissent pourtant encore vivants. Splendide vision ! On poursuite notre chemin pour atteindre l’autre côte, où on découvre des petroglyphes, mais les panneaux explicatifs sont illisibles donc c’est un peu difficile de comprendre ce qu’on regarde. On arrive ensuite dans la baie où La Perouse aurait débarqué, avec encore des Moaïs mais aussi un arrangements particulier de cinq pierres complètement rondes qui attisent la curiosité, mais là encore aucune explication. On poursuit pour arriver à Anakena, une très belle plage où on trouve des Moaïs juste au dessus, la vue est plutôt pas mal et on fait une pause pour goûter un jus d’ananas, et franchement ils n’ont rien à envier aux ananas de Moorea bien au contraire ! Après cette petite pause on prend le chemin du retour pour nous arrêter au site de Puna Pau où étaient sculptées les coiffes des Moaïs car ici la roche est rouge. Alors là on se dit qu’ils cherchaient pas la facilité en ayant deux sites de production différents situés à l’opposé l’un de l’autre. Parce que les coiffes aussi il fallait les trimbaler à travers l’île pour les déposer sur les Moaïs. Et à ce propos là encore les scientifiques ne sont pas certains de la technique utilisée pour monter ces tonnes de roches sur la tête des statues. On continue sur le site de Ahu Akivi pas très loin, qui a la particularité d’abriter 7 Moaïs tournés vers l’océan. Et c’est les seuls de l’île disposés de cette façon, semblerait-il en hommage aux sept premiers marquisiens arrivés en éclaireurs pour le Roi Hotu Matua. Le soleil descend et il est temps de rentrer car il commence à se faire tard. On retrouve ici les horaires estivaux de nos latitudes et ça fait bizarre. Le soleil se couche à 20h30-21h et on s’était plutot habitué à 18h en polynésie. On rentre au camping pour manger un morceau et se coucher assez tôt car on veut être debout le lendemain matin pour aller voir le lever de soleil devant les quinze Moaïs. Malheureusement, lorsque le réveil sonne à 4h30, il pleut et le ciel semble bien chargé. On reste dans notre tente car faire les 30-40 minutes route de nuit, sous la pluie avec tout les trous qu’elle comporte c’est peut-être pas une bonne idée. Tanpis pour le lever de soleil qui aurait alors lieu derrière les nuages et pas derrière les Moaïs. On se lève plus tard et on décide d’aller sur le site de Orongo, situé au sommet du cratère du volcan du même nom. C’est aussi l’un des site où on ne peut y aller qu’une seule fois, mais il est possible ici finter et passer par la sorite qui n’est pas contrôlée (c’est pas dans nos habitudes de resquiller de la sorte mais là….). C’est ce qu’on fait et ça passe. On découvre ici des habitations qui surplombent l’océan, juste au bord de l’énorme cratère ayant la particularité d’abriter encore les espèces végétales endémiques de l’île grâce à sont micro climat. On trouve également un musée ici sur la légende de l’homme-oiseau et le pillage des britanniques (plus d’infos ici). Il y a également un autre musée à 15 min du centre-ville, mais il était en rénovation durant notre séjour.

 

 

Infos utiles et Galerie Photos

L’entrée du parc : Depuis janvier 2017, le passe ou billet est de 80 $ par personne valable durant 10 jours. Il peut s’acheter à l’arrivée à l’aéroport ou au centre ville. Il y a encore une année, payer en pesos revenait moins cher qu’en dollars, mais on a constaté que le prix indiqué en pesos au guichet, correspondant aux 80$. Attention, car les deux sites étant les mieux préservées, celui de la carrière d’où était taillés et extraits les moaïs et celui du village d’Orongo et son musée, sont accessibles qu’une et une seule fois. Pour le reste, vous pouvez y retourner autant que vous voulez.

Où dormir : Sans conteste le camping Ana Tei O d’Octavio http://www.campinganaotai.cl , à 8’000 pesos par personne (comprenant électricité, douche chaude et transfert). On a vu sur internet qu’il y a deux autres camping en ville, le Mihinoa et le Tipanie Moana. On a eu un contact hyper froid avec le Mihinoa, mais on ne peut pas dire si le camping est bien ou non vu qu’on ne la pas testé. La nuit est à 10’000 pesos par personne (passant à 6’500 après la 3e nuit avec son propre équipement, sinon 8’000) avec l’éléctricité et en plus, le seul à être sur booking en proposant des prix hallucinant pour le camping, 15$ par personne ! Petite info utile, le wifi est payant dans n’importe quel camping, mais on a trouvé des zones wifi gratuites en ville qui fonctionnaient plutôt bien.

Où manger : Il y a plusieurs restaurants et bars au centre ville et au bord du quai plutôt sympas, ils sont assez chers et affichent une taxe de 10% supplémentaire, comme partout au Chili. On n’a pas vraiment de bons plans côté restauration, car on avait une cuisine à dispo au camping. Il y a des petits supermarchés en ville, où vous trouverez les aliments de bases et des vendeurs de fruits et légumes dans la rue (petit conseil : testez les ananas !). Si vous en avez l’occasion achetez quelques aliments au Chili ou sur Tahiti avant de venir, cela sera moins chers et vous aurez plus de choix, mais tous produits laitiers non pasterisée ou fruits, vous sera retiré à l’arrivée.

Que faire et voir : Bien entendu le tour de l’île, c’est un peu la seule activité à faire, mise à part le musée et la plongée. Vous pouvez le faire via un tour, des bus stop, s’arrêtant sur presque tous les sites, mais apparement il n’en passe qu’un toute les 2h. Sinon, la location de scooter ou vélo, à 20’000 pesos le scooter pour 24h de location, ou 10’000 le vélo par personne (négociable si vous le prenez plusieurs jours). A savoir également qu’il est possible de faire tamponné son passeport avec l’image des maïs, comme lors de votre visite au Machu Picchu, au centre touristique d’Hanga Roa.

 

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